mercredi 29 juillet 2009

Les 10 ans d'un rêve éveillé.


Tout commença durant l'été 2000...
J'étais dans une salle du Palace. Ils n'étaient que 4 au début, vêtus de cuir noir, guidés par un chauve paraplégique, le plus puissant de tous. Unis pour faire face à l'avidité d'un de leur espèce... Griffes en adamantium, rayon qui sort des yeux, voitures qui s'envolent... Le tout sur un écran géant. Et depuis, ça n'arrête plus...
Cet été, cher lecteur, on fête, dans ma tête, un anniversaire dont le monde entier s'en branle...

Les 10 ans du super-héros moderne au cinéma!!

... mouais ça fait pas très accrocheur. Tant pis.

Après quelques belles réussites qui ont pas trop mal vieillies dans les 80's (Superman de Donner et les Batman de Burton) mais qui ont été assez vite plombées par leur suites... Le super-héros renait la veille des années 2000, moins fantasque, plus ancré dans le monde réel, plus nuancé, avec quelques névroses, conflits internes tout ça, mais quand même avec son lot de combats titanesques (progrès en effets spéciaux oblige), un héros marvelien quoi.

Normal, puisque c'est Marvel (enfin surtout les grands studios, coproduction tout ça...) qui lance le "cycle" en 3 films. Blade, un personnage mineur (dont ils ont quand même réussi à en tirer une trilogie), tout d'abord, et X-men ensuite. Le succès de ce dernier ouvre une voie royale pour une adaptation du personnage emblématique de Marvel, Spider-Man.

Le BADASS Spider-Man de Sam Raimi. Le film que j'ai vu le plus de fois dans ma vie, une quinzaine de fois peut-être. Un fantasme de gosse sur grand écran. Je me souviens encore du frisson que j'ai eu quand j'ai vu pour la première fois, le personnage de Peter Parker se balancer de toile en toile, d'immeuble en immeuble... Durant des années le voir sur une page de comics, et le voir enfin "en vrai". C'était assez merveilleux, aérien, époustouflant... Raaah.

Et voilà, après ça, le phénomène mondial. A Hollywood, le sauveur torturé en latex prend la place du mâle alpha des 90's et ses films de bourrin (John McClane et compagnie). Et les studios se sentent plus... même DC a fait renaitre ses héros emblématiques lamentablement "morts" des années plus tôt, tandis que la Marvel a décidé de produire entièrement elle-même ses films afin de créer une cohérence d'ensemble (merveilleux j'vous dis), les adaptations de comics pleuvent (plus d'une trentaine en 10 ans), et les geeks font la pluie et le beau temps...

Depuis une décennie, au moins une fois par an, des hommes et des femmes, frappés par le coup du sort, volent au-dessus des gratte-ciels, s'enflamment, voient la vie en vert, en bleu, libèrent de l'énergie par les mains, les yeux, contrôlent les éléments, les champs magnétiques, les atomes, deviennent invisibles, traversent les murs, se transforment en sable, combattent des êtres venus de l'enfer, peuvent lire les pensées d'autrui, deviennent indestructibles, ou ont simplement la haine et l'argent (Bruce, Norman...).
Et pendant ce temps, moi, j'en prend plein la gueule. Tous les ans, je bave devant un minable teaser, décortique chaque bande-annonce, m'émerveille devant le film, le fustige, crie à la trahison, critique le casting, veut abattre le réalisateur, puis en fnacque certains et les remate, et surtout, attend la suite...
10 ans d'émotion fortes, d'héroïsme, de fascination, de frissons, de super-costumes, de coolitude, de rebondissements, de coups de théâtre, mais aussi de déceptions, de pures daubes, de trahisons...

10 ans d'un amour passionnel et tortueux, qui en plus, ne sont pas prêts de finir... avec prochainement les suites d'Iron Man et de Sin City, le spin-off sur Magneto, l'adaptation de The Preacher, de Kick-Ass, Spiderman 4, Thor de Kenneth Brannagh, ou encore Captain America, The Avengers et Green Lantern... Raaah quelle belle époque.

Pour le fun, mon "Top 10 (murement réfléchi) des adaptations de comics":
  1. The Dark Knight
  2. Spider- Man 2
  3. Spider-Man
  4. Hellboy 2: The Golden Army
  5. Iron Man
  6. X-Men 2
  7. Watchmen
  8. Batman Begins
  9. Sin City
  10. Blade 2
Toi aussi, amuse-toi à faire ton top 10 (le mec qui essaye d'être interactif...)


Bon j'avoue... Cet article n'était qu'un minable subterfuge dans le but de pouvoir mettre une photo de Kirsten Dunst.

lundi 20 juillet 2009

Routine & transitions.


HahahahahahAHAHAHAAAA!!!... Ha.

Et sinon? Ben... sinon, rien.

Ah si, Bloc Party et Oasis passent au même moment... (Bon... je vous ressors ma théorie du complot ou pas?)

En parlant de complot...
Une escadron de moustiques s'est acharnée sur moi la nuit dernière (à moins que ce soit une araignée en fait). L'arcade de mon œil droit, la joue gauche, le bras, la clavicule droite... Je suis un remake d'Elephant Man, en gros. Enfin, je m'en suis rendu compte qu'après être allé acheter mon pass ce matin, je serais pas sorti de chez moi si j'avais su.

En parlant de sortir de chez moi...
J'ai des envies d'autistifiage en ce moment. De dessiner surtout. Même si j'ai toujours pas de muse (oui, c'est de toi que je parle). Sinan, phénomène intéressant, je me surprend à prendre du plaisir en lisant des livres, enfin, j'arrive à être aspiré par une histoire, chose qui m'arrivait jamais avant... ça ouvre des perspectives intéressantes dans l'optique de mes futurs weekends d'autiste à Clermont-Ferrand.

En parlant de livre...
J'ai eu du mal à accrocher The Reader. En plus de la réalisation trop classique, cette histoire d'amour entre un adolescent et une ancienne SS analphabète... bof, ça m'a pas vraiment ému. Bon, il y a toute cette réflexion qu'implique une telle histoire, mais j'ai pas réussi à me plonger dedans, à compatir, à me sentir impliqué. Les personnages sont pas assez attachants pour ça, limite antipathiques... J'ai préféré m'intéresser aux peines d'Hermione Granger, moi.
Et puis, cette meuf, en plus d'être illettrée... "elle est débile, en fait."

En parlant de crimes nazis... (et de juifs donc)
Dans Marvel: Ultimatum, Erik Magnus Lehnsherr, suite à la perte de ses deux enfants, s'apprête à anéantir l'univers ultimate. "Pour ce qu'ils ont fait... ils devront payer le prix ultime." Et pour en avoir lu le premier chapitre... je peux vous dire que c'est une belle hécatombe.

En parlant de Magneto...
Mon magnéstoscope ne recrache plus les VHS avec lesquelles je le nourrie. Enfin seulement au bout de quelques heures. Et ça, c'est pas bath...

That's all folks!

lundi 13 juillet 2009

Du rock qui va bien au fond de ta maman...

Une heure et demi d'extase pure, de bonheur auditif. Ce fut bandant. Génial...

Mais avant ça, dix heures d'attente interminable... De la poussière jusqu'au fond de tes narines. Une chaleur étouffante seulement atténuée par quelques nuages. Et puis aussi la fatigue, la douleur, la transpiration... le tout avec la moitié d'un paquet de chipsters, quelques biscuits et 20€ de boisson sucrée dans le bidon. Et le pire, des êtres humains, des milliers d'êtres humains. D'un coup, comme ça. Et puis des minets surtout. Se retrouver au milieu d'eux, hum... J'ai souffert ma race.
Avant ça, la sublime infirmière du poste de la croix rouge, dont les vêtements larges laissaient quand même deviner un corps de rêve.
Avant ça, de la musique quand même. Les très surfaits The Kooks, d'abord. Olivia Ruiz ensuite, une présence et une énergie assez incroyable, géniale. Puis petite ambiance rétro, un peu planante, à l'heure où le soleil se couche avec Duffy. Et puis Charlie Winston... Rien à en dire, j'ai eu un moment de passage à vide durant ce concert, pas vraiment accroché, pas vraiment écouté... du coup, repos pour retrouver un peu la forme...


Aux alentours de 23 heures, arrive la tête d'affiche, comme une récompense, un soulagement après ces longues heures de souffrance, ces interminables semaines d'attentes... FRANZ FERDINAND.

Une belle entrée en matière avec Do You Want To, The Dark Of The Matinée... et les morceaux s'enchainent, Ulysses, Auf Achse, Michael, Bite Hard... T'en oublies que t'es à moitié-mort, que tu transpires, que t'as mal aux jambes... Tu chantes à tue-tête, danses comme un autiste. Pendant une heure et demi, il n'y a plus rien d'autre que la musique, les riffs, la batterie, la basse, les synthés, la voix de Kapranos. C'était juste jouissif. Et le final en apothéose, Lucid Dreams (et les 10 minutes de musique électronique qui vont avec... raaaah).
En fait, la sensation qu'on a, j'arrive même pas à la raconter... C'était tout simplement bien quoi.

Bon après ça, la plénitude... un sourire béhat imprimé sur le visage, The Dodoz en fond sonore... puis vient la fatigue. Ensuite le silence, le bronzage et le vide.

Bon Musilac c'est fini. Je fais quoi maintenant?

Dans l'immédiat, je vais commencer à lire Final Crisis...

jeudi 9 juillet 2009

Miley & moi.

Mardi dernier. Aux alentours de 16h, j'arrive au Pathé, Laura est déjà là. Elle prend sa place au guichet automatique, moi, je vais vers le guichet humain... j'arrive vers la femme, tout seul, (Laura tu m'as lâché!!!) et lui demande "une place étudiante pour hum Hannah Montana s'il-vous-plait." Le ptit moment de solitude passé, on rentre dans la salle et là, un frisson dans le dos "Ouh merde..." La vingtaine de spectateurs présente dans la salle n'a pas la tête qui dépasse du siège... que des fillettes d'à peu près 12 ans, accompagnées d'un parent des fois. Et dans la même rangé que nous, un vieux à moitié chauve, venu tout seul. Un pervers sans doute. Et là, comme si ça m'est pas déjà venu à l'esprit en marchant vers le Pathé, je me demande qu'est-ce que je fous là...

Alors le film. En gros c'est l'histoire d'une adolescente qui s'appelle Miley Stewart, jeune brunette lycéenne en temps normal, qui vie à Beverly Hills quand même, mais qui est en fait une superstar internationale de la musique connue sous le nom d'Hannah Montana (et accessoirement une pute à frange blonde avec un mauvais gout vestimentaire très prononcé...). Et en fait, elle a deux identités parce que son plus grand rêve c'est de faire de la chanson mais elle veut quand même avoir une vie normale, loin du star system, voyez-vous, et c'est tout à son honneur.
Mais seulement voilà, au début du film le succès commence à lui monter à la tête, elle commence à avoir des caprices, à manquer de professionnalisme, en plus, elle gâche l'anniversaire de sa meilleure amie itout... le coté obscur d'Hannah commence à bouffer la jeune et jolie Miley... et ça, c'est pas bath. Du coup, son père, Billy Ray, il a un peu les boules et décide de lui donner une leçon de vie... Ça c'était en gros les vingt premières minutes du film, de la joie, de la couleur, des chansons, de la bonne humeur, du niais... En gros là, tandis que ma voisine danse comme une autiste à chaque chanson, je me dis que je vais m'emmerder, et puis...
Alors qu'elle croit aller à New-York pour remplacer Beyoncé aux Music Awards, son père l'emmène dans un trou perdu du Tennessee, dans la ferme de sa grand-mère, là où elle a passé son enfance... un retour au source en quelque sorte. Bon Miley, elle est dévariée parce qu'elle voulait le tapis rouge et les paillettes et elle se retrouve dans un patelin de bouseux qui chantent du country... Bon elle se dit quand même que si elle y met du sien, son séjour va passer plus vite. Et puis, elle retrouve quand même un ami d'enfance, Travis, beau blond aux yeux bleus, avec un chapeau de cowboy sut la tête. Alors là tu sens venir la bluette à des kilomètres... et ben NAN. Miley se fait violer par Travis, qui est en fait un récidiviste. Le mec finie par se repentir et se pend dans la grange. Bon, en fait non, une romance nait entre les deux beaux jeunes gens, classique. Mais y'a aussi le père de Miley qui tombe sous le charme d'une bouseuse, qui aime réparer les voitures comme Megan Fox, mais en moins sexy. Bon, on s'en fout là, mais ça va être vachement important dans la suite du résumé.
Un peu plus tard dans le film, on apprend que le "village" veut être racheté par un mec qui veut faire construire un centre commercial à la place. Bon le mec est joué par Barry Bostwick, la maire dans Spin City (ct' déchéance...) Et pour empêcher cet être malsain d'agir, le patelin organise régulièrement des soirées caritatives pour récolter de l'argent, mais ça marche pas vraiment. Alors un soir, alors que le mec méchant vient les narguer ces pauvres, Travis sort une idée de génie, dont seul ce crétin a le secret (en fait, son rêve c'est de se faire du fric en vendant des œufs de poule au marché...), comme Miley lui a dit qu'elle connaissait Hannah Montana, il propose qu'Hannah Montana vienne faire un concert chez eux afin de récolter plus de sous. Et là, Miley et papa à Miley sont pas vraiment jouasses mais bon, elle accepte quand même. Et c'est à partir de ce moment là que le film prend toute sa dimension. Bon y a sa copine (celle qu'a eu l'anniversaire gâché) qui arrive dans le village, pour la soutenir, parce qu'au final, elle lui en veut pas, tout ça, tout ça...
Et puis par un hasardeux quiproquo, Miley accepte un diner en tête à tête avec Travis alors qu'Hannah Montana avait accepté un diner organisé par le maire de la ville, le même jour à la même heure. Et là, tu te dis ouh la la comment ça va être compliqué car encore une fois Miley doit faire un terrible choix entre son intérêt personnel et ses responsabilités. Elle décide de faire les deux. Mais ça se retourne contre elle, et Travis découvre la supercherie et est dépité. Il lui sort un truc genre "J'aime pas qu'on se moque de moi" et il se casse. Et là, y'a un plan sur Miley, elle est en larme et elle titube "Mais... T-Travis..." Et durant cette scène putain, j'ai été vachement émouvé... Putain merde la pauvre itout, elle mérite pas ça quoi.
Et puis t'as même pas le temps de te remettre de tes émotions, scène suivante. Miley rentre dans la mairie en larmes, au ralenti, elle court dans les escaliers. Elle y croise son père et lui dit en larmes "Tu as tout vu?" Et le père "Oui j'ai tout vu..." d'un air désolé (parce que c'est un peu de sa faute là, il l'a forcé à bouffer avec le maire itout). Et là, y'a la bouseuse qui appelle Billy à l'étage d'en haut, il monte les escaliers d'un étage et je me rappelle plus du fil de la conversation mais ça se finie par "la vérité c'est que je peux pas avoir de relation sérieuse pour l'instant... Ma fille traverse une période difficile et je dois être avec elle, elle a besoin de moi..." Et pendant que le mec dit ces mots, la caméra est braquée sur Miley à l'étage en-dessous, assise sur les marches d'escalier, en larmes, mais c'est encore plus intense. Elle assiste au sacrifice que fait son père pour elle... Elle culpabilise, elle se rend compte qu'Hannah Montana détruit son entourage, et fond encore plus en larmes... Putain deux moment très émotioneux en moins de trois minutes, Laura est au bord du suicide...
Bon la fin du film. Le concert caritatif d'Hannah Montana récolte assez d'argent pour sauver sa ville natale... mais seulement voilà, sur scène, elle fait un blocage. Elle décide d'arrêter d'être Hannah Montana et enlève sa perruque blonde devant toute la foule venue assister au concert... Han mon dieu, quel coup de théâtre. Et après un discours vachement émotioneux, elle se met à chanter The Climb... Et je crois que c'est à ce moment là que Laura a versé une larme d'après ce qu'elle m'a dit (t'as vu, je balance). Bon j'ai pas fait de même, mais j'étais super émouvé... et puis la chanson était trop belle quoi.
Bon finalement, ça se termine bien. Une petite fille demande à Miley de redevenir Hannah Montana pour ses fans, et toute la foule promet de garder le secret (bon c'est un peu abusé oui...). Et puis le concert reprend, dans la joie et la bonne humeur...

Je suis allé voir Hannah Montana, The Movie, j'ai aimé et j'ai même pas honte. Enfin si, un peu...

dimanche 5 juillet 2009

Quand les mouettes suivent le chalutier...

J'ai suivi les conseils d'une légende de Manchester United pour essayer de retrouver un peu d'amour propre et du sens à mon existence, j'ai essayé de revendre de la beuh pour pouvoir partir en vacances, j'ai monté ma propre société de nettoyage de scène de crime avec ma sœur pour me prouver que je vaux mieux que ce que je suis, après avoir perdu notre enfant, ma femme un peu dingue s'est coupée le clitoris après m'avoir explosé la bite avec une buche en bois, j'ai eu un gosse très chiant et une belle-famille de merde, j'ai du sauver le monde avec mes amis extra-terrestres (et accessoirement véhicules de transport) alors que tout ce que je voulais, c'était profiter de ma fac remplie de filles peu farouches (le monde selon Michael Bay...), j'ai été un génie méprisant les clichés et vivant parmi de vers de terre...




Et voilà... La Fête du Cinéma, c'est fini.
Bon... et je fais quoi maintenant?

Le tout est de trouver une occupation d'ici Franz Ferdinand, le weekend prochain. *bave*

Et sinan l'année prochaine, je vais habiter à Clermont-Ferrand. Bon, faut que j'arrive à trouver un logement d'ici là... Mais quand j'y pense, j'aime bien. La ville a l'air plus cool qu'il n'y parait. Et puis... découvrir quelque chose de nouveau, changer de décors, ne plus me balader dans la rue et être blasé de voir les mêmes têtes... Enfin, c'est la première fois que je vais quitter Valence, au bout de 22 ans. Et même si j'y suis pas encore, j'en suis tout excité hihi...
Enfin, j'ai quand même pas mal d'interrogations dans la tête comme... Et si je me perd en essayant de rentrer chez moi? Est-ce que je vais devenir définitivement obèse en vivant seul? Est-ce que la librairie de comics sera loin de chez moi? Combien de temps je vais tenir avant de commencer à parler à mon iPod? Est-ce que je deviens sociable ou pas? Merde j'ai pas assez de vêtement... ce genre de trucs quoi.

Petit Dialogue Sans Intérêt Au Petit Déjeuner (jvous la fais en VF...)

Moi: Tiens t'as une moustache maintenant (copieur)?
Mon père: Ouais... comme toi haha!
Moi: Gnnn... m'en fous, j'ai la barbe en plus moi...
Mon père: Ta mère veut pas que je me la laisse pousser...
Moi: Hmm... tout s'explique...
Ma mère: D'ailleurs tu devrais te la raser cette barbe. T'as l'air d'un clodo...
Moi: Maieuh... t'es pas ma femme.
Ma mère: ... (quelle perspicacité il a, mon fils.)
Ou pas donc.
Du coup, j'me suis juste rasé la moustache.